Kohn Jung Wan ✦ I SEE THE STARS SHINNING WHEN I WAKE UP   Jeu 13 Mai - 22:05 
 
Every night I had a bright light in my eyes. I can see the stars, shinin when I wake up.
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KOHN JUNG WAN
28 ans • HE/HIM • BISEXUEL
INFORMATIONS
Nom Prénom : Kohn Jung Wan Un nom presque trop facile à retenir tant il diffère. surnoms : Jung, Wan, Wannie ... C'est au bon vouloir des gens, mais il ne cherche jamais à en avoir. Jung Wan lui va très bien. date de naissance & âge :23.05.1993 & 28 ANS et pourtant, il n'a jamais vraiment vécu sa propre vie.orientation sexuelle : bisexuel bien que les relations ne soient pas une de ses priorités. Il préfère quelques nuits fugaces dans les draps d'inconnu(e)s pour n'avoir aucune attache. l'amour n'existe pas selon lui. occupation : CHEF DE PRODUIT dans la mode. Milieu particulièrement prisé par sa mère. statut social : RICHE grâce au mariage de sa mère avec des hommes fortunés. L'argent vient principalement de ses beaux-pères et défunt mari de sa mère, mais aussi de son salaire de chef de produit. résidence & coloc: Il vit dans la résidence Bu, car c'est là que vit son beau-père et son demi-frère.
AVATAR : Jung Yoon Oh (jaehyun, nct)
LA BASE
BU ● 부
RICHE • CHEF DE PRODUIT
CARACTÈRE
Jung Wan a une personnalité à grande vivacité d'esprit. Il est intelligent et assume avec brio les postes à responsabilités. Il aime se sentir indépendant et n'a aucun mal à établir le contact où qu'il soit. Cela lui vient sans doute de son caractère attentif qui lui donne envie de s'intéresser aux autres. Une façon pour mieux de garder le contrôle et de savoir comment se comporter lorsqu’il est avec les autres. Il vit avec la pression de ne pas se faire démasquer dans leur agissement meurtrier avec sa mère. Doté d'une grande imagination, Jung Wan est aussi un homme charmant, charismatique et éloquent. Il séduit par sa verve plus que par son allure. Ses points faibles résident dans la recherche constante d'affection et de sécurité amoureuse qu’il masque pourtant à chaque instant. Jung Wan donne l’impression d’être un homme sociable doué de parole, mais se montre dès lors qu’il est en privée, discret, silencieux et froid. Il est difficile de le cerner lorsqu’on connait ses deux facettes. Son ambition professionnelle est tellement grande qu'il se donne à fond mais déteste être le centre d'intérêt de tout un chacun. En communauté, son habileté oratoire le dirigera logiquement vers des professions qui nécessitent du contact et de la persuasion. Il réussit avec brio ses missions et commence doucement à se faire connaitre dans son milieu. Pourtant personne ne connait véritablement qui il est, ce qu’il vit, son passé … Un homme de plusieurs vies, qui sent que les choses changent …
CHOSES QUE J'AIME
DESSINER
MA MERE
LE LAIT BANANE
LES ETOILES
LA MOTO
CHOSES QUE JE DÉTESTE
LE FROID
LA FOULE
DEVOIR SOURIRE
MES BEAUX PERES
LES CHOIX DE MA MERE
LE PASSÉ
Sous forme de date, de points c'est comme tu le sens ,mais on veut en savoir plus sur l'histoire de ton personnage. S'il a vécu au pays des Bisounours ou non et comment ton personnage est devenu la personne qu'il est. On veut surtout savoir les points importants et les détails croustillants de son histoire.
SECRET DÉVOILÉ
D'un naturel distant, Jung Wan n'est pas le genre d'homme à avoir beaucoup d'ami ✦ Il n'a jamais réussis à tenir une relation sérieuse, sa mère prenant beaucoup trop de place dans sa vie ✦ Familier à la folie de sa mère et ses agissements, Jung Wan peine à pleinement prendre conscience des torts de sa mère, d'une loyauté sans borne, il aurait toutes les excuses du monde pour expliquer son comportement. ✦ Fils d'une veuve noire, il a été dès son plus jeune âge impliqué dans les manigances de sa mère ✦ Fan de basket, Jung Wan a toujours trouvé libérateur de marquer quelques paniers pour vider sa tête de tout ce qu'il vit ✦ Jung Wan n'a jamais eu de vraie famille en dehors de sa mère. Ses beaux pères n'ont jamais vraiment compté pour lui. ✦ Jang Jae sera ce qui se rapproche le plus d'un frère, mais il ne peut s'empêcher de le voir comme un étranger. Il refuse de s'attacher quand il sait le destin funeste qui attend le père du garçon. ✦ Accroc à la nicotine Jung Wan est un gros fumeur ✦ Il bosse comme chef de produit dans une boite de mode, utilisant ses capacités à manipuler les autres pour convaincre acheteur et commercial. ✦ D'un naturel distant Jung Wan peut paraitre froid et arrogant, mais est, de façon surprenante, relativement calme et doux lorsqu'on prend le temps de le connaitre. ✦ Il est difficile de savoir ce qu'il pense et ce trait est quelque peu agaçant chez lui. ✦ Il adore les barbecue coréen ✦ Il écrit et dessine des webtoon sur son temps libre mais se garde bien de le dire ✦ Il met souvent ses écouteurs aux oreilles, lui permettant de se fermer aux autres, même sans musique.
Re: Kohn Jung Wan ✦ I SEE THE STARS SHINNING WHEN I WAKE UP   Jeu 13 Mai - 22:05 
 
Will you promess you rescue me ☾☾☾
❝will you promess you'll stay with me. the dark getting louder in my room.❞
D’aussi loin que je me souvienne, ça n’aura toujours été que ma mère et moi. Il ne me restait de mon père que l’image d’un dos se laissant engloutir par le noir de la nuit. Une valise à la main il s’éloignait, insensible aux cris d’hystérie de ma mère. J’avais à peine 6 ans et c’est le plus ancien souvenir dont j’arrive à me rappeler. Je ne saurais dire à quoi ressemblait ma petite enfance, parfois quelques sensations me reviennent, comme une douce chaleur dans le creux de la poitrine, puis l’instant d’après un sentiment de vide oppressant. Ça oscille sans jamais qu’aucune image ne puisse s’imposer à mon esprit, comme si j’avais préféré tout oublier, tout renier.
« Je t’en prie maman … n’es-tu pas fatiguée de cette vie ? Et si on restait pour une fois … rien qu’une … je sais que t’en es capable, je sais que tu tiens à lui … tu n’es pas obligé d’aller jusqu’au bout cette fois … je t’en prie … je ne veux plus faire ça … j’veux plus … »
Kim Son Ah a toujours su que sa vie se terminerait de la pire des façons sans jamais s’en inquiéter tant qu’elle avait son fils. Il était tout ce qui lui restait, la seule chose qui comptait réellement et qui la faisait encore tenir debout. Qu’importe qu’il puisse autant ressembler à son père, Jung Wan était désormais sa seule raison de vivre, et c’était de cette amour que naquit la plus douce de ses folies, et la pire. Elle ne pouvait tolérer cette vie de misère qu’elle lui faisait subir. Il lui était déchirant de voir son enfant si mal fagoté, de le voir fiévreux de faim, quand le monde continuait de tourner sans eux. Kim Son Ah était une belle femme que la vie avait abimée, pourtant les traits de son visage restaient délicats et fins, ses lèvres fines et ses yeux s’étiraient élégamment. Une beauté à l’état brute. Une beauté qui ne laissait pas indifférent cet homme d’affaire qui venait régulièrement passer commande au café où elle travaillait. Il n’avait ni charme, ni physique attrayant, mais il était obstiné et l’argent qu’il exposait ne laissait pas indifférent la jeune mère célibataire. On sait vraiment où tout a basculé … A quel moment la folie a frappé, ni quel poison s’est immiscé dans sa tête pour qu’elle puisse prendre une telle décision …
« Je n’ai pas le choix … je ne peux plus reculer … je ne saurais pas faire … aide maman … aide maman une dernière fois mon fils … je te promets de changer … de ne plus recommencer …. » sa voix suppliante est pressante, le pouvoir qu’elle a sur son fils vacille, tremble dangereusement « maman je t’en prie … pas ça … plus ça … » alors Son Ah bascule dans sa propre folie, le gifle, si fort qu’elle le regrette l’instant d’après. Et sa colère se mélange à la peur (de le voir partir) et la culpabilité (de le détruire). « Je pensais que tu m’aimais. » siffle-t-elle, la main rougie d’un tel acte. « Toi aussi tu veux m’abandonner. Fils ingrat ! » Aveuglé par tant de blessures laissé par les hommes, Son Ah ne réalise pas le mal qu’elle inflige au seul qui ne l’ait jamais aimé. Tombant à genoux, serrant les jupes de sa mère pour y noyer ses larmes, Jung Wan supplie … encore et encore … « Maman … je t’en prie … »
Aussi pauvre qu’on pouvait l’être, vivre avec ma mère dans cet appartement au-dessus du café était sûrement mes plus belles années de vie. Mais personne ne peut s’habituer à une telle pauvreté, ni à la fin, ni à la crasse. Les heures de travail intenses épuisaient ma mère qui rentrait éreintée. Je l’aidais, autant que je pouvais l’aider du haut de mes 8 ans, puis est venu ce jour. Cet homme s’est présenté à moi avec un sourire que je n’ai jamais apprécié. Homme de pouvoir, il savait pouvoir contrôler nos vies de l’argent qu’il faisait tomber de son portefeuille. J’ai toujours détesté ce luxe dans lequel il nous a propulsé. J’ai toujours détesté cette façon qu’il avait d’accaparé ma mère, de refermer la porte de leur chambre sur elle, de m’offrir des jeux pour me forcer à la solitude. J’avais de beau vêtement, et je pouvais manger à ma fin et pourtant, jamais je ne m’étais senti aussi seul. C’était un homme bon, mais un homme de caractère qui n’admettait que la soumission à ses décisions. Je n’avais que 8 ans et pourtant je pouvais deviner à quel point elle le détestait derrière ses sourires et cette façon taquine qu’elle avait de poser sa main sur son épaule. Elle n’était pas sa femme, elle était son plus jolie des trophées … Le contes de la belle et la bête remixée en une comédie pathétique. « Va porter son café à ton père. » ce n’est pas mon père. Pourtant chaque fois je lui apportais, comme le fils docile qu’il attendait de moi que je sois. Si j’avais su à l’époque que je lui apportais le poison qui le tuerait. Ne m’a-t-elle rien dit pour préserver mon innocence, ou pour s’assurer que personne ne puisse découvrir sa réelle folie ? Le décès de cet homme avait été prononcé 6 mois après leur mariage, un arrêt cardiaque. Aussi simple que ça. Son train de vie, la cigarette et l’alcool qu’il ingurgitait ont eu raison de son cœur, voilà le diagnostic officiel. Pauvre homme, laissant derrière lui une femme et son fils, ravageant un mariage remplie de bonheur mais si fugace … Je n’ai compris les larmes de ma mère ce jour-là que bien plus tard, ce rôle de femme dévastée qui restait désormais seul dans ce royaume fait d’argent et de pouvoir …
« On ne peut plus faire marche arrière. Jung Wan relève toi, ce n’est pas ainsi que je t’ai élevé. » siffle-t-elle sa voix vacillant pourtant … Elle devait faire à sa seule faiblesse : son fils. Obstinément accroché à ses jambes, il refuse de se redresser, homme de prestance, homme de charisme, ne redevenait que ce gamin perdu lorsqu’il affrontait sa mère. « Maman … » gémit-il car il savait, dans le fond de son cœur, qu’il n’existerait qu’une seule issue possible à leur dispute. Le gosse n’était pas prêt de l’envisager et cherchait à l’en convaincre … il devait la convaincre, la faire changer d’avis …
« Joyeux 15ème anniversaire chéri ! » s’écrit Kim Son Ah de se sourire radieux, poussant vers lui un paquet contenant très certainement un objet d’une richesse bien trop folle pour un simple adolescent de 15 ans. « Joyeux anniversaire Fiston. » sourit l’homme se tenant à ses côtés. Une main posée sur les hanches de sa mère, il le fixait de cet air faussement complice. Jamais Jung Wan n’avait détesté autant un beau-père. Lui qui avait tant de fois essayé de l’envoyer en pensionnat pour ne plus avoir à se trainer ce gosse encombrant. Il avait fallu toute l’agilité de sa mère pour l’empêcher de l’envoyer à l’étranger en contrepartie Jung Wan devait se faire discret et se montrer plus obéissant que jamais. Tout devait être parfait et s’il manquait à ses missions il risquait de gâcher les efforts de sa mère … Alors Jung Wan était devenu le premier de sa classe, travaillant d’arrache-pied. Adolescent discret qui attirait les regards par sa beauté, et ce charisme froid qu’il dégageait, il avait toujours été solitaire et polie. Il riait quand il savait devoir rire, et s’emportait quand il savait devoir prendre position. Il n’était pas certain de savoir ressentir ce qu’il ressentait au fond de lui. Il faisait ce qu’on attendait de lui, incapable de réellement savoir penser par lui-même. Enchainé à cette mère il n’aurait jamais pu la quitter, forcé dans une loyauté aveuglante. L’accident de voiture emportant cet homme n’avait laissé aucun regret chez ce gosse qui nourrissait une colère sourde. Il s’était montré fermé le jour de la commémoration et n’avait croisé le regard de personne. Imperturbable adolescent assis aux côtés de sa mère en pleure, il s’était contenté de fixer le mur attendant que cette mascarade ne cesse.
Tant d’arguments qu’il essayait d’utiliser pour la ramener à la raison, mais tant d’efforts vain. Sa mère n’avait ni logique, ni lucidité. Bien trop habituée à cette liberté et cet argent dont elle avait besoin pour prendre sa revanche sur la vie elle avait oublié de protéger son âme. Elle qui était pourtant tombée sur un homme bon et un père aimant … n’arrivait pas à réaliser son bonheur … Et dans sa folie, et ce couteau qu’elle saisit, elle porte son coup, comme une gifle, et entaille la joue de son fils. Etait-ce la vue du sang ou le poids du couteau dans sa main qui lui fit réaliser son geste ? La lame qui touche le sol dans un rebond métallique lui fait écarquiller les yeux alors qu’elle tombe à genoux à sa hauteur en attrapant soudainement son visage. « Mon amour, je suis désolée ! Maman va te soigner … maman va te sauver … maman va prendre soin de toi » balbutiait-elle dans une démence précipitée, confuse et maladroite. Elle pressait sa paume contre la plaie de son fils, rougissant ses doigts autant que ses joues se baignaient de larmes. « Maman le tuera pour toi … et on retrouvera notre vie rien que tous les deux … je te le promets … rien que tous les deux … »
« Jung Wan, chéri, viens dire bonjour à M. Wang. » 4 ans, elle ne lui avait laissé que 4 ans de répit. Renouvelant à nouveau ce jeu, Jung Wan s’était levé docilement, délaissant ses devoirs universitaires pour aller à la rencontre de son nouveau beau-père. Ou plutôt de la nouvelle victime de sa mère. Savait-il qu’à compter de ce jour, il ne lui restait qu’à vivre, tout au plus … 2 ans ? Il s’inclina poliment, délaissant le Jung Wan qu’il était pour devenir ce qu’on attendrait de lui … M. Wang était un homme mauvais, qui portait la main bien trop souvent sur sa mère. Il buvait plus qu’il n’aurait dû mais semblait ne pas avoir conscience de l’existence du garçon. Lui qui soignait les bleus de sa mère en silence. Elle passait toujours une main délicate dans ses cheveux dans ses moment-là et le forçait à poser sa tête sur ses genoux, comme lorsqu’il était enfant. « Maman sait ce qu’elle fait … alors ne t’inquiète pas mon chéri, tout sera bientôt fini … tien bon encore un peu … » Jung Wan fermait toujours les yeux, comme le ferait un enfant les soirs d’orages pour ne plus entendre les coups de tonnerres. Quelle vie pouvait-il se construire quand son quotidien tournait autour de sa mère ? Il n’avait eu à passer qu’un seul coup de file et donner suffisamment d’argent pour que se passe comme prévu … Une agression en pleine rue, en pleine journée. Un coup de couteau, un vol à l’arraché. Sa mère avait été malmenée pour plus de crédibilité, et pourtant Jung Wan n’avait éprouvé aucune culpabilité. Ils étaient libres de cet homme plus tôt que prévu, et pourrait retrouver leur vie à deux … Voilà tout ce qu’il voulait … à l’aube de ses 20 ans … il ne voulait plus avoir à vivre avec hommes … Son Ah est longtemps restée furieuse après lui, mais elle ne pouvait nier qu’il avait agi de la meilleure des façons. Pouvait-on dire qu’il avait désormais lui aussi du sang sur les mains … ?
« Alors tu ne changeras pas d’avis ? » souffle-t-il les larmes aux yeux en caressant la main de sa mère pressant toujours sa plaie. Il pouvait lire dans son regard la surprise de cette question. N’avait-elle pas été claire ? Elle ne comprenait pas l’insistance de son fils. « Maman je suis désolé … » gémit-il en pleurant, jamais il n’avait autant versé de larmes. Des parles acides qui roulaient sur leurs mains crispées. « Je suis désolé, pardonne moi … » la lame avait été silencieuse, et le geste plus dur qu’il ne l’aurait cru. Ses doigts tremblants n’avaient pourtant pas failli à leur tâche. Il n’existait qu’une seule solution … Le regard écarquillé, elle baissa les yeux un instant avant de comprendre. Comprendre …
« Tu as bientôt fini l’université, que comptes-tu faire après ? » me demande ma mère en venant m’enlacer, posant son menton sur mon épaule. « Tu vas abandonner maman ? » me demande-t-elle de cette voix qui savait si bien me faire culpabiliser. J’ai 26 ans dans quelques jours, et pourtant, j’étais loin de savoir quel avenir je pouvais me construire. Je n’imaginais pas une vie sans ma mère, car nous formions un duo dont les destins s’entrelaçaient de la plus malsaine des façons. Je reconnaissais sa folie et ne savait ni comment la contenir, ni comment m’en épargner. Mais le plus drôle dans cette histoire c’est que je ne ressentais aucunement le besoin de m’enfuir et de m’en protéger. C’était tout ce que j’avais toujours connu, et tout ce que je voulais. Aussi toxique que cela puisse être, j’aurais été incapable de m’en passer … Affichant un sourire en coin je me tourne vers lui et caresse sa joue en embrassant son front. « Bien sûr que non … Je m’occuperais de toi, toujours. » Je savais que mes paroles la rassuraient et j’espère pouvoir la garder pour moi seul sans trop savoir si c’était le gosse de 6 ans qui parlait à vouloir tenir la main de sa mère un peu plus longtemps ou si c’était pour préserver la vie de ces hommes qui croisait sa route … j’avais conscience que ma mère était une veuve noire et pourtant … mon amour pour elle restait intact, car elle n’a jamais agi ainsi que pour nous protéger … cela faisait des années que nous avions retrouvé notre cocon … Mais je sentais qu’il finirait par arriver … cet homme qui détruirait notre famille.
Ça ne ressemblait en rien comme dans les films. Il n’y avait pas de sang qui coulait abondamment, ni de gémissements de douleur à s’en tordre au sol. Il n’y avait qu’un long silence, un souffle qui se coupe. Elle s’effondre contre lui, les lèvres soudainement pâles. Ses yeux papillonnent un instant alors que Jung Wan ne cessait de répéter inlassablement qu’il était désolé … désolé … désolé, si désolé. Peut-être aurait-il pu y avoir une autre solution … mais dans le fond, le garçon savait que c’était la seule qui pouvait sauver sa mère. « Merci … » lui murmure-t-elle contre toute attente en portant faiblement ses doigts à son visage. Merci … Jung Wan ne peut retenir un sanglot et la vision de cette lame planté dans le corps de sa mère l’effraie soudainement. Il la retire brusquement sans pouvoir contrôler l’afflux de sang soudain. « Maman ! » gémit-il en appuyant prestement sur la plaie béante. Pauvre gosse … elle le fixe de cet air soudain si calme et serein, comme s’il venait d’ôter un poids à son cœur … « Je t’aime » gémit-il difficilement, car c’était là les seuls mots qu’elle aurait désiré entendre à son dernier souffle … Je t’aime maman. Et c’était bien cet amour qui l’avait poussé à commettre un tel crime … était-il aussi fou qu’elle … ? La main soudain lourde de sa mère retomba au sol alors que sa tête roula sur le côté. Inconsciente et se laissant porté par la mort, elle ne rouvrirait plus jamais les yeux … et ce soudain constat marqua la fatalité de son geste. C’est fini.
« Pourquoi l’avoir choisi ? il a un enfant ! » s’énerve Jung Wan qui ne peut tolérer l’idée de rendre ce gosse qu’il ne connait pas encore, orphelin. Peut-être qu’elle était là sa limite … Qu’il pouvait laisser sa mère prendre la vie de ses hommes car personnes ne les attendaient … Mais un enfant ? Jamais ils n’avaient tué d’homme avec une famille. Un sentiment effroyable lui avait saisi le cœur à cette pensée face à l’indifférence de sa mère. « Fais un effort. » c’est tout ce qu’elle lui demandait. De faire un effort. « N’as-tu jamais rêvé d’avoir un frère ? » la discussion ne pouvait continuer, rien ne lui ferait entendre raison. Leur compte s’était fortement amoindri Ces 8 dernières années. Elle avait besoin d’un nouveau mari, d’un nouveau compte en banque … Jung Wan avait compris, ce jour-là en terminant de rassembler ses affaires pour emménager dans ce nouvel appartement, que cela serait la dernière fois. La dernière fois.
C’est fini. Le gosse ne sait combien de temps il est resté assis dans cette cuisine, serrant le corps sans vie de sa mère. Il n’avait ni réfléchi à la suite, ni à ce qu’il devrait faire. Irait-il en prison pour son geste ? peut-être, peut-être qu’il maquillerait le tout … sa mère lui avait appris à se défaire des accusations. Mais désormais … il était seul. Seul. Et ce vide effroyable l’engloutissait à lui coller la nausée.
Jang Jae, pardonne moi.
TEMPLATE BY DALI OF CANDYLAND COUTURE
Jang Jae
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Jang Jae
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Re: Kohn Jung Wan ✦ I SEE THE STARS SHINNING WHEN I WAKE UP   Jeu 13 Mai - 22:06 
 
Bae JaeMin
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Bae JaeMin
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Re: Kohn Jung Wan ✦ I SEE THE STARS SHINNING WHEN I WAKE UP   Lun 17 Mai - 22:00 
 
Ohhhhh le demi-frère d'un des seuls amis de mon loulou Obligé on aura un lien d'ailleurs il sera surement négatif oops En même temps JaeMin il tient à Jae, il veut pas qu'il parte sinon comment il va faire pour être de bonne humeur ? Breffouille hâte de voir les rps et la suite de ce perso
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Re: Kohn Jung Wan ✦ I SEE THE STARS SHINNING WHEN I WAKE UP   Dim 30 Mai - 19:11 
 
FICHE VALIDéE ☾☾☾
❝Tu vas pouvoir signer ton bail avec nous !❞
WELCOME HOME HONEY
Ta fiche est terminée et parfaite en tout point. Te voilà donc validé, alors bienvenu parmi nous
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